Votre santé mentale et votre santé physique sont étroitement liées. Voici quelques moyens pour vous aider à mieux gérer votre diabète en éloignant la négativité.
1. Pour éviter le stress, planifiez : Commencez votre journée en fixant des intentions positives sur son déroulement et sur ce dont vous aurez besoin pour que cela se produise. Vos médicaments et votre moniteur sont-ils organisés et prêts? Quand trouverez-vous le temps de faire votre marche quotidienne? Si vous prévoyez une journée mouvementée, réfléchissez aux stratégies spécifiques que vous pourrez utiliser pour rester calme comme, par exemple, la respiration profonde.
Rappelez-vous que le maintien de votre stress à un niveau contrôlé vous aidera à mieux gérer le taux de sucre dans votre sang. Pour vous aider à réussir, vous pouvez noter vos pensées et vos réponses, tout simplement y songer, ou adresser une prière à une puissance supérieure.
2. Luttez contre la négativité : Lorsqu'une pensée déprimante risque de vous plonger dans l'abîme, battez-vous. Si vous vous surprenez à penser que vous ne réussirez jamais à perdre du poids ou à contrôler le taux de sucre dans votre sang, dites-vous « Non! », de votre voix la plus ferme et la plus autoritaire, dans votre tête ou à voix haute. Parfois, cela suffit pour empêcher des pensées négatives et lancinantes de faire boule de neige et de donner naissance à une attitude défaitiste.
3. Maintenant, réfléchissez : Une fois que vous avez réussi à bloquer une pensée négative, il est temps de mettre quelque chose de plus positif à sa place. Si vous vous disiez «Je ne changerai jamais» ou «Je serai toujours malade», essayez d'être plus objectif, plus précis et plus juste avec vous-même. Existe-t-il d'autres façons de voir la situation? Par exemple, «Je me sens nul en ce moment. Peut-être que le taux de sucre dans mon sang est faible. Je vais vérifier et voir si je ne devrais pas prendre une collation».
4. Quel est votre état d'esprit? Avoir une attitude gagnante commence par le fait d'être prêt à faire des changements dans sa vie pour améliorer sa santé. Mais le fait d'avoir été diagnostiqué avec une maladie chronique comme le diabète peut faire passer quiconque par une série d'émotions similaires aux étapes du deuil. Vous pouvez sauter des étapes ou régresser vers des étapes déjà vécues.
Le déni: «C'est impossible que cela m'arrive à moi!» Si vous vous sentez incrédule ou engourdi vis-à-vis de la réalité de votre diabète, peut-être êtes-vous dans le déni. Au début, un certain niveau de déni peut être positif. Cela vous empêche de trop vous soucier des conséquences potentielles d'une maladie évolutive.
La colère: «Pourquoi est-ce que cela m'arrive à moi?» Il est vrai que vous n'avez pas été la cause de votre propre diabète. Vos gènes y jouent un grand rôle. Il est donc assez naturel d'être en colère contre le fait d'avoir cette pathologie. La colère est utile lorsque vous la canalisez de manière positive, par exemple, en étant déterminé à faire absolument tout ce qui est en votre pouvoir pour vaincre la maladie.
La négociation: Si vous avez la foi, vous pouvez être tenté de passer un marché avec Dieu. Cela peut ressembler à « Je serai très prudent quant à mon alimentation et je ferai de l'exercice si vous me gardez éloigné de l'insuline ». C'est de la négociation.
La dépression: «Tout m'est désormais égal.» C'est la pire des étapes où être coincé, parce que lorsque l'on est déprimé, on est beaucoup moins susceptible de bien prendre soin de sa santé. Si votre dépression dure plus de deux semaines ou devient sévère, appelez votre médecin.
L'acceptation: «Je suis prêt, quoi qu'il arrive.»
5. Concentrez-vous sur vos succès : Vous mangez mieux. Vous avez commencé à faire plus d'exercice. Vous vérifiez le taux de sucre dans votre sang à temps. De façon générale, vous êtes une personne compétente qui a réussi dans d'autres domaines de la vie. En bref, les dés sont pipés en faveur de votre réussite dans la gestion de votre diabète. Concentrez-vous sur les atouts «succès» de votre jeu, et non sur les cartes perçues comme étant «vouées à l'échec».
Source: pagesjaunes