Une étude, réalisée par des chercheurs de l’Université Emory, en Géorgie, aux États-Unis, montre que les grands-mères cherchent à ressentir ce que ressentent leurs petits-enfants, que ce soit de la joie ou de la tristesse.
Des chercheurs de l’Université d’Emory, à Atlanta, en Géorgie, aux États-Unis ont étudié le cerveau de 50 grands-mères en bonne santé physique et mentale. Pour cela, les participantes ont été soumises à un scanner et à une IRM. Qu’ont révélé ces examens ?
De l’empathie émotionnelle : Le cerveau des grands-mères a montré une activation des zones de l’empathie émotionnelle. Dans la pratique, les grands-mères veulent donc ressentir ce que ressentent leurs petits-enfants lorsqu’ils sont avec elles : elles sont heureuses quand ils le sont, elles sont tristes lorsqu’ils sont dans la détresse, elles souffrent lorsqu’ils ont mal…
De meilleurs résultats chez les enfants : Ce comportement empathique des grands-mères vis-à-vis de leurs petits-enfants favoriserait même une meilleure réussite scolaire et sociale chez leurs petits-enfants !
Le défi des grands-mères : Et si les grands-mères sont dans l’empathie avec leurs petits-enfants, ce qui leur pose vraisemblablement un problème, selon cette étude, c’est d’être dans la non-intervention lorsqu’elles sont en désaccord avec l’éducation donnée par les parents. Difficile de trouver sa place !